A l'approche du 7 février, un climat de tensions et de menaces plane sur le pays. Le parti Union Nationale pour l'Intégrité et la Réconciliation se dit préoccupé. Haïti doit recouvrer sa pleine souveraineté, ecrit le parti dirigé par Clarens Renois dans une note.
7 février est une date historique pour le peuple haïtien. Aussi, il est urgent que les forces vives trouvent un consensus autour du départ du premier ministre Ariel Henry.
UNIR note un niveau de désespoir et de rejet de la gouvernance du docteur Henry et souligne que cela pousse plus d'un à adhérer aux mouvements violents pour retrouver de l'espérance.
Il met en garde les forces de l'ordre contre toute répression aveugle contre la population sans défense.
Le parti fait d'ailleurs remarquer que, chaque jour, les citoyens sont victimes des groupes armés.
" La population est abandonnée par le gouvernement qui s'accroche au pouvoir au mépris du doit à la vie et à la libre circulation de nos compatriotes traqués et chassés de leurs foyers".
UNIR dénonce ceux qui, nationaux et internationaux, soutiennent sans réserve un pouvoir illégitime. Un pouvoir qui a échoué et qui, en plus de 30 mois, n'a montré aucune volonté de remettre le pays sur les rails de la démocratie.
UNIR plaide pour un consensus autour du départ du premier ministre Ariel Henry.
DO / HPN
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